Vistas de página en total

8 oct 2011

L avortement au Guatemala ( traduction )

 



Que disent les femmes, qui entre 14 et 23 ans n’ont pas d autre choix que d’etre maman?



On peut écouter plusieurs discours disant que c est la faute de la femme si celle ci est enceinte si jeune. Discours facile. Car seul la femme peut avoir un bébé et avorter. Les discours restent fictifs car si loin de la realité du vécue des femmes, de cette peur que nous avons, les femmes, a chaque rapport sexuel non protégé.

Dans beaucoup de cas les femmes ne peuvent pas continuer a étudier car elles sont enceinte très jeune et non pas d autre option que la maternité non souhaitée pour des questions légales et culturelles.
Tout en sachant que la culture religieuse du Guatemala voit l’avortement comme un crime.

Le corps d une femme n appartient qu a elle même et elle seule peut choisir ce qu elle désire faire de son propre corps. Il faut savoir aussi, que le corps d une femme n est pas encore mature a l adolescence pour pouvoir avoir un enfant car son corps est en train de grandir, de se former et reste en pleine croissance.

Le fait d avoir un enfant, voir son corps changer sans l avoir planifié, est très difficile et dans beaucoup de cas les femmes ne sont pas prêtent psychologiquement a avoir un enfant.

En interdisant le droit a l avortement, les femmes perdent leurs droits, leur liberté car ce n est plus la parole des femmes qui est soulignée, mais la parole de l État, celui ci profondément patriarcal. Gouvernement masculin qui prône un interdit que les femmes n ont pas souhaitaient : on ne prend plus en considération la realité de beaucoup de femmes qui sont elles même forcées a être mère et avoir des relations sexuelles non protéger.
Dans cette même situation la paroles des femmes n est plus respectée, ont ne les écoute plus.

L avortement résulte également d un grand manque de communication dans le couple et la famille, dans laquelle le thème de la contraception est un sujet tabou, on n aborde pas non plus le  changement du corps de la femme pendant son adolescence. Dans l éducation des jeunes on ne parle pas des solutions de la contraceptions et le fait d utiliser un préservatif pendant la relation sexuelle, on ne soulève pas non plus la responsabilité des hommes et sa possibilité d être père. Dans la plus part des cas ou la femme est enceinte involontairement, c est elle qui doit vivre et supporter la charge sociale, émotionnelle et physique de la reproduction humaine. Elle le vie seule, sans l aide verbale ni physique de son époux.
L autre causes plus profonde, c est l inexistence de l education sexuel au Guatemala, mais au contraire, le machisme comme forme de la relation social.


Les femmes doivent restées libre, si elles veulent avorter, elle doivent se regrouper pour choisir une alternative contre l État pour qu au minimum entre elles, elles puisent s aider, se soutenir et rester libre!

No hay comentarios:

Publicar un comentario